« Il a fallu que papa, qui n’avait peur de rien et se montrait plus arrogant qu’un coq de combat, aille traîner là-bas avec sa jument qui ne le quittait jamais. Il a dû rencontrer Eulalie dans un bal ou peut-être en allant acheter un kilo de riz dans la petite boutique qu’elle tenait. Tu imagines le tremblement de terre que ça a provoqué dans ce trou vert protégé de toute intrusion ? Les deux frères d’Eulalie se sont transformés en cowboys du Grand Ouest, prêts à poignarder Hilaire pour protéger cette belle fleur fragile qu’était leur Eulalie » (page 26)
Que t’inspire ce début de relation entre le grand-père et la grand-mère de la narratrice ? Partage ton point de vue avec les autres lecteurs